Trackone

Mon Western de Mélancolie

Mercredi 3 février 2010 à 17:54

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Ma petite entreprise, connaît bien la crise !
Chaque quart d’heure, une gaffe demeure,
L’entreprise coule à flot !
Ma conscience tire sa révérence,
Mais comment vais-je m’en sortir ?

Ma petite entreprise, touché par la crise !
Dans l’enceinte, un blues résonne.
Tel un moribond,
Me voilà prisonnier,
De toute bonne action.


Mais dis moi pourquoi,
Les gens d’en face me dévisagent,
En marmonnant leur connerie en tout genre.
Un ciel devenant entre temps nuageux,
Telle une lettre d’adieu
A l’humanité.



Ma petite entreprise, n’aime pas la crise !
Le bateau reste à quai
Durée indéterminée,
Système avarié,
Le monde coule à flot !

Ma petite entreprise, connaît bien la crise !
X années d’apnée,
Les vivres épuisées.
Il faut que je m’en sorte !
Me voilà vendu.


Mais dis moi pourquoi,
Les gens d’en face me dévisagent,
En marmonnant leurs conneries en tout genre.
Un ciel devenant entre temps nuageux,
Telle une lettre d’adieu
A l’humanité.



Ma petite entreprise responsable de ma crise,
Me voilà vendu à ma triste vie,
Je tend  mes bras vers toi, démon.
Espère petit.

Lundi 15 mars 2010 à 22:11

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Seul, l'enfant oublie ses peines,
Il pense à l'ailleurs et s'évade.
Il fuit en bonne compagnie, sans penser à l'après.
Sans penser, il rêve juste sans peine.

Seul, l'enfant s'endort.
Les ennuies le rattrapent alors,
Lorsqu'au lendemain l'enfant s'éveille.
Il se souvient. Ce qu'il est, était, devient.

Le jour se lève,
L'enfant se lève.
Les soupirs résument cette journée de routine.
Et me revoilà, avec toi, je fuis en ta belle compagnie.

Au large ma peur, mes angoisses...
Je navigue dans l'ignorance et le plaisir, sans vice.
Je suis un enfant, je découvre et m'habitue à la vie.
Ce n'est qu'une prémisse, le début de ma seule aventure.

[Saez, bébé.]

Mardi 6 avril 2010 à 12:48


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A attendre l’impossible, on s’étonne tous.
Seul l’impensable nous anime, à la quête d’une insuffisance.
On s’oublie à coup d’intolérance, réduit à l’Etat de pion.
Je m’initie à la vie et voilà ce que je vois :

L’abandon, de rêves.
Tous paumés dehors.
Mais où est l’humanisme ?
Qu’on nous apprend à l’école.

Je vois le manque d’amour,
Une fausse compassion.
Une société remplie d’illusion.
Pauvre de nous !

Levez vos briquets, c’est un deuil !
Aux valeurs des hommes.
Nous sommes les créanciers de l’horreur.
Et ça, ça, ça fait peur… !

Levez vos briquets, c’est un deuil !



Les flammes nous illuminent,
Et je vois l’espoir.
C’est à nous maintenant,
De réaliser.

Mardi 6 avril 2010 à 22:20

 

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Je te vois encore,
Tu te trémousses les nuits.
Tu es le désir de chaque homme.

Et de partout, tes cris résonnent.
 

La belle parisienne,
Telle une hyène se déchaîne.
Et m’emprisonne encore !
Sans l’hombre d’un remord.

Fantasme d’un prépubaire,
Que je vous relate.
Sur un réverbère,
Il finira son fantasme.



Lucy Jane,
Désirée de tous !
Déguisée en vipère,
Elle nous tuera tous.

La belle parisienne,
Telle une hyène se déchaîne.
Et m’emprisonne encore !
Sans l’hombre d’un remord.

Je parle d’un air excité je sais.
Mais vous savez, j’imagine juste…
Les charmes arborées
Par Lucy Jane.

La danse érotique,
En un sens hypnotique,
Tu n’en pouvais plus,
Tu t’es rendu.


Erotic Lucy...





La belle parisienne,
Restera sienne.
Telle une hyène,
Lucy Jane.

 
 

Dimanche 11 avril 2010 à 17:06


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Le Bluesbar
Le Bluesbar


Un bar spirituellement
Au large des canalisations du Mississipi.

Le Bluesbar
Le Bluesbar


Chicago, au milieu d’un désert.
Un remix bluesy qui en vaut le détour.


Le Bluesbar
Le Bluesbar


La foule, elle, moi.
Un guitariste, avec son silence,
Commence une grille pure blues,
Seul, Benji déploie son talent.



Soudainement un silence total,
1..2..3.. la foule, elle, moi soufflons.
Applaudissement comme récompense,
Bien mérité pour un artiste frôlant l’excellence !


Bluesbar, bluesbar,
Chaque soir au menu :
Brassage de sentiments, et délice mélodique.


Nul mot à ajouter,
Ce soir, j’oublie Alice et je rêve d’ailleurs.



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